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 | | Sujet: Re: | Adonia G. Lise | Mar 3 Mar - 6:38 | |
| « It's all about defining myself. » « Maman, maman, pourquoi papa il t’a tapée ? Maman j’ai peur… »
La petite, avait à peine trois ans, cela faisait trois mois qu’elle était en première section de maternelle, et ça se passait merveilleusement bien. Quoi que, Adonia était une grande chipie, et embêtait tout ses camarades de classe, du coup ses parents avaient déjà été convoqué une fois devant les maîtresses. Elle était fille unique, et dans la famille, ce premier bébé était si attendu, que finalement ça n’a pas été une bonne chose pour Adonia, qui devint une petite fille gâtée – trop gâtée, et petite bourges. Mais à 3ans, elle ne s’en rendait pas compte, et pour elle, tout le monde avait autant de cadeaux qu’elle, c’était normal, et de ce fait, elle n’arrêtait pas de réclamer une chose par-ci, une chose par là. Du coup, elle avait tout ce qu’elle souhaitait, quand elle voulait, où elle voulait, et selon ses humeurs aussi. Elle était adorable avec ses parents – normal, ils ne lui refusaient rien ou presque rien. Ils ne se rendaient pas bien compte, qu’en grandissant, s’ils ne lui faisaient pas comprendre les valeurs des choses – notamment de l’argent, mais aussi la gentillesse, et lui apprendre les choses simples mais primordiales de la vie, elle allait finir comme toutes ses filles, une grande peste. D’ailleurs, c’est ce qui se passa – même si avec l’âge, elle murit de plus en plus…
Cependant, la vie de ses parents – donc la sienne, n’était pas si rose qu’on pouvait le penser. Le bonheur parfait n’existe pas, il y a toujours des bémols. Voilà que chez les Lise, la situation devenait de plus en plus inquiétante. A l’heure actuelle, le père de Adonia avait une maîtresse, et par malheur – ou peut-être par chance, la mère de Adonia l’a découvert, et lui en a parlé. Pour elle, il n’y avait pas d’autres solutions que le divorce, mais lui n’était pas de son avis. Il a toujours su être très directe et méchant avec qui que ce soit – entre autre de sa famille. Seulement voilà, étant le plus grand avocat de tous les temps, il ne voulait pas bousiller sa carrière en quelques heures, pour une faute, qu’il n’aurait pas su se pardonner. Il supplia alors Picarel – la mère d’Adonia – pour qu’elle reste, lui promettant bien des choses, dont la certification qu’il n’irait plus voir ailleurs, que c’était une faiblesse de sa part, mais ce jour ci il avait trop bu et blablabla. Seulement, ce n’était que des belles paroles – et encore, car deux mois après, il avait repris ses manigances, et cette fois-ci, il n’avait plus une maîtresse à titre indicatif, mais changeait tous les deux soirs de femmes. Pas très discret, sa femme le remarqua de nouveau. Cette fois-ci, ça ne passera pas, c’était fini pour lui. Le soir même, en rentrant du travail, il tomba nez à nez, avec sa femme et sa fille, leurs valises en main, qui partait pour de bon. La mère d’Adonia, lui avait dit, qu’elle déménageait, dans un endroit plus petit et comme ça elles seraient plus près de l’école… Adonia goba les paroles – comme on goberait un flamby xD. Mais, son père n’accepta pas de se faire autant humilier – comme-ci lui, en allant voir ailleurs, il n’humiliait pas assez sa femme ainsi – Enfin, il lui demanda de rester de nouveau, et devant sa fille, Picarel accepta, mais demanda à Adonia de monter dans sa chambre… Mais, têtue comme une mule, elle reste dans la cage d’escalier, et pouvait voir son père et sa mère ainsi, tellement elle était curieuse. Mais ce ne fut pas une bonne chose, car rendu dans le salon, son père gifla sa mère, celle-ci ne répondit rien, restait debout immobile. Adonia, était choquée – elle n’avait que trois ans, elle venait de recevoir un choque émotionnelle. Puis cela ne s’arrêta pas, son père balança des monstruosités à sa femme, la tapa de plus belle, cette fois-ci partout, sur la tête, dans le ventre, dans les jambes, aucun membre n’étaient épargnés. Il criait de plus en plus fort, et Adonia, pleurait en silence, c’était atroce, elle ne savait pas quoi penser, elle ne pensait même plus. Son père lui épargna les détails, si jamais elle se relançait à partir sans prévenir. La mère d’Adonia, Picarel, était décidée à le cacher, ne rien dire à personne, et continuer à vivre ainsi, laissant son mari découcher chaque soirs… Elle avait à présent peur de son mari, elle savait de quoi il était capable lorsqu’il était en colère, et savait qu’il serait prêt à tout, pour ne pas perdre sa réputation, quitte à s’en séparer… Et elle ne pouvait pas se le permettre, elle avait une fille à protéger, à élever, c’était trop risqué… Pour Picarel c’était tout vu, elle allait se taire, et jouer à la bonne femme, soumise. Seulement voilà, elle n’aurait pas pensé une seconde que sa fille l’aurait vu. Quand celle-ci s’approcha de sa mère, les yeux rouges, et les douces larmes de bébé qui coulaient sur ses joues, et vint lui prononcer quelques mots. « Maman, pourquoi il a fait ça ? » La mère, qui avait du mal à retenir ses larmes, prit Adonia sur ses genoux, elle avait encore une chance de lui faire avaler la pillule, et de lui expliquer que c’était un jeu… « C’est rien ma chérie, il faisait ça pour s’amuser. » Adonia baissa les yeux. Puis les releva aussi, et vu que sa mère avait d’énorme trace rouge sur sa poitrine. « Il t’a fait mal maman… » Adonia était assez mature pour son âge c’est vrai. Sa mère haussa les épaules, et essaya de lui sourire. Elle l’aimait plus que tout sa fille, sans elle il y aurait bien longtemps qu’elle ne serait plus en vie. « Non mon cœur, je me suis grattée, tu sais, comme toi tu fais souvent avec tes longs ongles de princesse… » Elle l’a chatouilla légèrement, il fallait qu’elle détente l’atmosphère, mais Adonia en avait trop vu. « J’ai peur maman, si papa il joue avec moi, je vais avoir très mal !! » . A ces paroles, ce fut un déclanchement pour Picarel. Non, elle ne pouvait pas rester sans rien dire – il y avait trop de femmes battues sur terre. Et puis, sa fille avait tout vu – trop vu. Elle avait peur, sa fille avait peur, il était dans son devoir de la protéger, et pour ça, elle devait porter plainte, elle serait mit sous protection judiciaire, jusqu’à temps que son homme en prenne pour bien des années, après elle demanderait le divorce. Elle le devait. Pour sa dignité. Pour tout l’amour qu’elle a pour sa fille… « Je t'aime mon ange, je serais toujours là pour te proposer, crois-moi chérie, il ne faut pas que tu es peur, maman est là pour toujours... Viens là que je t'embrasse.. »
Elles arrivèrent au commissariat, Picarel, porta plainte, ces blessures toutes fraîches furent prises en photo. La police la mit sous surveillance 24h/24. Il ne fallait pas risquer quoi que ce soit, ce qu’avait fait Picarel était courageux mais tellement dangereux… Son ex-mari – oui car ils ont divorcés, en prit pour 2ans de prison ferme. De ce fait, Adonia, vécu avec sa mère dans un grand appartement, jusqu’à ses 18 ans, où elle alla s’installer seule – pour plus d’intimité dans un appartement plus petit… _________ « Tu peux me garder madel cette après-midi ? S’il teeeeeeeu plait mon amour que j’aime plus que touuuuuut au monde. Tu meeeu doit bien ça. »
Madel, c’était son petit chien, certes elle s’en occupait bien – elle l’emmener faire du shopping, elle lui achetait de magnifique vêtements pour chiot. Seulement voilà, il était un peu encombrant et elle ne pouvait pas l’emmener partout. Notamment chez l’esthéticienne, elle avait un rendez-vous cette après-midi, et il était or de question qu’elle emporte son chien. Un moment de détente reste un moment de détente, elle n’y emmènerait même pas une personne avec elle c’est pour vous dire. C’est vrai qu’elle avait souvent des rendez-vous où elle ne pouvait pas l’emmener, et d’habitude elle appeler une baby Sitter, et quand celle-ci arrivait, elle la prévenait qu’à ce moment là, que ce n’était pas un bébé mais un chien, mais que son chien c’était comme un bébé, il fallait s’en occuper tout pareil – oui c’est vache. Mais voilà, aujourd’hui, elle avait eu tellement de chose à faire, qu’elle avait complètement oublié de s’occuper de la baby Sitter. Mais, Gaby était là. Gaby qui c’était ? Son seul ami. Son meilleur pote, avec qui elle dit tout, elle le fait chier, elle l’embrasse, elle couche même avec, mais il est tellement cool. Bref’, Gaby c’est sa moitié, elle peut pas se séparer de lui ; mais n’arrive pas à distinguer ses sentiments envers lui. Elle sait qu’il compte énormément pour lui, c’est déjà bien non ? Enfin, cette après-midi, il était passé à l’improviste, et il avait bien fait, ainsi il serait chargé de garder le chien toute l’aprèm. Il n’avait pas le choix, il ne pouvait pas refuser, Adonia lui faisait de magnifique yeux de chien battu, avec une mine d’espoir dedans.
« Dégage gros boudin avant que je t’étrangle » Lui avait-il lancé. Il pouvait pas tout simplement lui dire bien gentiment qu’il était d’accord – de toute façon il n’avait la choix. Adonia était déjà dehors. Hum nan, elle revint aussitôt, elle avait oublié de lui dire quelques mots. « Tu sais ce qu’il te dit le gros boudin noir ? LA FERME !! ». Gaby, était avachi dans son canapé en cuire noire, tout récemment acheté ; il bouffait des cacahuètes. Il l’ignorait, lui aussi savait très bien s’y prendre pour la faire enrager. Je vous le dit, ils sont exactement pareil, alors forcément ça crée des tensions. « SI JAMAIIIS IL Y A UNE SEULE MIETTE SUR MON NOUVEAU CANAPE, JE TE FOU LA TÊTE DANS LES CHIOTTES CONNARD ! ». C’était très courant ces nombreux discours, et puis, dans le fond, c’est avec ça qu’on mettait un peu d’ambiance. Ils ne se l’avoueront jamais, mais ils s’aiment plus que tout au monde, c’est pas ça qui va les faire séparer du jour au lendemain – impossible. « Putain t’es trrooooooop sexy quand tu t’énerve. » Hum. Je l’étrangle, je lui arrache sa gueule d’ange, je fais quoi ? Okay je ferme la porte et j’me casse avant qu’un malheur se produit… | mais oui je l’aime.. | ------------------------------------------- » P R E N O M -/- P S E U D O -: Chloé | steeps - nawak PATATOES
» V O T R E -A G E -: 16 ans
» L E -D E S I G N -E S T -C O M M E N T -: Oh superbe. Il donne envie (a)
» C O M M E N T- T ' A S- C O N N U -L E- F O R U M : E-mail
» P O U R- F I N I R -: VALIDÉ PAR LA BELLE DESIRAE
» A V A T A R : Taylor Momsen
Dernière édition par Adonia G. Lise le Mar 3 Mar - 10:17, édité 7 fois |
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