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 | | Sujet: H.M.CORLEONE -- like a rolla Jeu 26 Fév - 8:20 | |
| © Crédits  _« Hermès M. CORLEONE »_
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» Â G E - D U - P E R S O N N A G E -: 23 ans.
» J E- S U I S - D ' O R I G I N E- : De Sicile
» J E - T R A V A I L L E -: Comme photographe
» M O N -S T A T U T-: Célibataire
» J E -S U I S- N É - L E -: Le 27 avril 1986
» S O U S- L E- C H A R M E -D E-: Poséidon
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once upon a time...
» T O N -H I S T O I R E-: « L’éternel enfant. - Nous croyons que les contes et les jeux appartiennent à l’enfance, myopes que nous sommes! Comment pourrions-nous vivre, à n’importe quel âge de la vie, sans contes et sans jeux! Il est vrai que nous donnons d’autres noms à tout cela et que nous l’envisageons autrement, mais c’est là précisément une preuve que c’est la même chose! »
« Un. Deux. Trois. ET SOLEIL! Je t’ai vu! Je t’ai vu! T’as perdu! T’as perdu! Turlututu! » c’était le même refrain, tous les week-ends, tous les mois, toutes les années et ce pendant toute l’enfance parfaite du jeune Hermès Mikhail Corleone. Comme beaucoup de Siciliens, il avait la chance d’habiter une coquette maison aux joyeuses couleurs et à la joyeuse vie de famille qui faisaient rêver les touristes égarés dans son village. Il avait un grand jardin qu’un vieux monsieur bichonnait si bien et qui bichonnait de la même façon, éperdument conquis, Hermès, c’était plein de fleurs sauvages aux belles couleurs, d’une haute herbe moelleuse dans laquelle il pouvait si facilement s’endormir, il y avait aussi de beaux et grand arbres robustes dans lesquels il grimpait avec Papa. Le village était particulièrement tranquille, il courait tous les jours à 3h14 de la maison pour aller jusqu’au café, où il escaladait tant bien que mal les hauts tabourets de messieurs pour demander à Mirta : « Un whisky glace frappé, poupée » et Mirta lui servait inlassablement une glace si délicieusement onctueuse décorée d’une impressionnante quantité de chantilly, si bien qu’il se persuadait que le whisky pouvait attendre, et accompagnait le tout d’un clin d’œil faussement aguicheur. Quelle peut être la vie d’un villageois sicilien? A 5 ans il courait toujours dans les bras de Mirta, à 12 il emportait sa glace sur les plages pour y traîner avec les copains, à 16 Mirta sortait de véritables bouteilles de whisky et à 18 il prenait le large pour rejoindre ce que les autres appelaient le Rêve Américain sur la grande scène qu’est New York. Hermès Mikhail avait connu une enfance agréablement paisible. Il n’avait pas le choix, il n’y avait pas moyen de discordes dans un village tel qu’Erbalunga. Une faute à 1, 2, 3, Soleil? Papa sortait les biscuits de la maison; une faute en plein match de foot? Mirta offrait la boisson; une rupture bouleversante? Le cinéma vous ouvrait ses portes gratuitement. Mais personne n’était là quand le jeune Hermès se brûlait les ailes, paisiblement allongé dans le sable chaud ou dans les hautes herbes mais toujours et inlassablement accompagné de London, Apollinaire, Whitman, Kerouac, Hemingway. Hermès voulait voyager, il voulait arrêter de vivre et exister enfin, il voulait ne pas avoir peur si deux dealers mexicains le menaçaient de mort. Mais il ne connaissait rien de la vie, il vivait dans un cocon si épais qu’il allait suffoquer, mort né, et il devait se résigner à vivre dans l’ombre d’un autre Hemingway de loin plus talentueux, plus intelligent, plus intéressant que sa propre personne. Ce genre de problème à 18 ans pour tout de même être problématique.
« The only people for me are the mad ones, the ones who are mad to live, mad to talk, mad to be save desirous of everything at the same time, the one who never yawl or say commonplace things, but burn, burn, burn, like a fabulous yellow roman candles exploding like spiders across the sky »
Cela faisait plus de trois ans que Mikhail avait emménagé à New York City, jamais il ne s'était sentit aussi bien. Mais en vivant dans ce grand monde où il pouvait rencontrer tellement de personnes différentes, ce monde de libertés indiscutables, ce monde de débauche savamment étudiée, Mikhail avait prit l'habitude de s'évader, de prendre la voiture sur des coup de tête et partir là où son compteur voudrait bien l'emmener. Et Hermès aimait ce monde de pollution et de liberté absolue jusque dans la débauche. Jamais il n'avait prit plus grand plaisir à faire des folies sans queue ni tête tout en paraissant tout à fait ... normal. C'était une merveilleuse journée qui annonçait que à tous les habitants de la Big Apple que l'été n'était pas loin du tout. Hermès se réveillait douloureusement, s'étirant dans ses draps de soie rouge qu'il adorait tellement, le soleil filtrait tout aussi difficilement à travers les rideaux de velour. Son appartement était merveilleusement meublé, merveilleusement décoré, il aimait se reveiller comme ça, doucement, comme si le monde qui était déjà en route ne faisait que l'attendre. Hermès sentait alors le contact de la soie fraîche contre sa peau encore toue humide. C'est en s'étirant dans sa soie que Hermès sentit un autre corps que le sien dans ses draps. Il se retourna vers ce corps dont il ne voyait que la chevelure parfaitement défaite et l'épaule dénudée. Il avait rêvé toute sa vie de liberté, de vivre de tout et de rien, il ne voulait pas se fixer comme tout le monde et faire comme tout le monde, il ne voulait pas vivre avec amour dans un foyer confortable. Il ne savait pas aimer, il ne voulait même pas essayer d'aimer. Ses amis avaient beau dire que ce qu'il vivait avec cette charmante fille n'était que de l'amour pur et dur comme peu de personnes peuvent connaître dans leurs vies, il n'en voulait pas. Il ne voulait pas retrouver la même chevelure à l'odeur de lila dans ses draps, mois après mois, années après années. Il se réveilla donc, renfila des vêtements pas forcement très propres, bu la tasse de café qu'il s'était laissé refroidir depuis la veille, s'approcha de son lit delicatement, le sac au bras, près à s'enfuir encore une fois, deposa un délicat baiser sur cette épaule dénudée et lança un simple : « Je te laisse les clés. » qui ne laissait pas penser que cette jeune fille aimait vraiment ce terrible Hermès. Quelque minutes plus tard, Hermès se retrouvait dans le métro New Yorkais, cette fois-ci la rame était particulièrement vide, évidement puisqu'il n'était absolument l'heure de se balader. Il se sentait toujours très triste, bizarrement, quand il se baladait dans le métro et qu'il n'y avait pas foule. S'est alors qu'entra une vieille femme schizophrène qui parlait à un chat imaginaire. Après quelques minutes de discussion assez ... décousue, la vieille femme lui conseilla sur un ton chaleureux : « Va te faire voir chez les Australiens mon p'tit »
- « Ne dit-on pas chez les Grecs?
Tu préférerais certainement la Grèce, pour sur mon p'tit, c'est moi qui te le dit »
Avec enormement de chance, cette rame de métro le conduirait à un aéroport, et alors, après avoir envoyé à celle qui était certainement l'amour de sa vie un simple : « Je m'en vais me faire voir chez les Grecs », Hermès s'envola vers l'Australie.
i am what i am and i am the best...
» T O N- C A R A C T È R E-: Hermès a été élevé dans la foi chrétienne, le premier trait que l’on peut découvrir en lui est donc l’innocence un peu naïve qui lui reste de cet enseignement chrétien. Innocence, vérité, bonté, générosité, tout ceci pourrait décrire Jackson, du moins lorsqu’il est sous son bon jour. Car au fond Hermès est un personnage indécis, tiraillé par diverses facettes de sa personnalité.
Il y a donc cet Hermès bon camarade, joyeux, généreux, celui vers qui on va uniquement parce que ses lèvres dessinent un franc sourire et qu’il est près à effacer tous malheurs traînant dans votre sillage. Cet Hermès, lui-même le déteste. Trop gentil, trop faible, trop simplet, pas assez réaliste, comme un enfant tombé dans la cour des grands trop innocent pour repousser celui qui lui marche sur les pieds.
Et pourtant, pour certain, ce côté de sa personnalité petit enfant plait à ses camarades qui s’en accommodent on ne peut mieux.
Mais de par son physique de jeunot insouciant et son éducation bornée, Hermès s’est mit en tête de partir en voyage en quête d’une liberté quasi-sauvage. Repousser ses limites, jouer avec le feu, risquer sa vie pour un peu d’adrénaline, aller jusqu’au bout et encore plus loin - même avec les sentiments - jouer d’autrui, dépasser toutes limites, ne jamais se résigner, savourer sa vie ou juste exister. Jusqu’au boutiste, Hermès est loin d’être le Sicilien mollasson se contentant d’une promotion par an. Hermès a soif de vie, Hermès a besoin de ressentir des choses éprouvantes et ce de n’importe quelle façon, tout doit avoir un goût d’inconnu, tout doit monter aux tripes et arracher le cœur.
Sous ses airs de jeune premier, il n’hésitera pas à jouer de vous pour se procurer le plaisir de la violence des sentiments. Et le peu d’amis sur qui il compte réellement le savent, il est très dangereux - même pour lui-même - avec ses sentiments et sa quête insouciante de liberté. Souffrir pour mieux apprécier, même en amour ou en amitié. Lui qui part dans une longue quête romanesque, avec ses airs de super voyageur ou d’Indiana Jones, attiré par le danger, la nouveauté, la brutalité, ne se laisse jamais avoir, décidant de conquérir tout et tous sur son bref passage.
Parce qu’il faut l’avouer, Hermès ne s’attache qu’extrêmement rarement aux gens, si vous arriver à captiver un de ses regards et qu’il vous pousse dans une de ses relations extrêmes qui sont sa marque de fabrique, il est très bien capable de vous oublier deux mois plus tard, une fois ayant consumé votre relation et tous sentiment en ressortant.
Seulement Hermès est un personnage triste et mélancolique, certainement du à son côté théâtral qui le pousse dans n’importe quelle occasion à se positionner dans le rôle de la victime maudite. Vous pouvez tomber sur un Corleone tout sourire, doux et innocent, ange parmi les brutes qui se changera en un manipulateur extraordinaire qui peut tomber dans le spleen rien qu’en regardant les nuages danser dans un ciel bleu. Mais au fond, Hermès reste un adolescent parmi tant d’autre, plus ou moins sociable, ouvert à la vie, bien élevé, attiré par la découverte de la vie, de ses sensations et sentiments, bien qu'Hermès soit un être la vague à l’âme, jamais comblé ou rassasié, habitué des histoires d’amour éprouvantes et déchirantes et aux belles déclarations chantées au pied d’une fenêtre illuminée.
» U N E -A N E C D O T E- D E -T A -V I E -: Sur Broadway dans le célèbre et très prisé Backstage aux alentours de vingt-et-une heures, deux âmes éperdues s’aventurèrent avec habitude dans leur coin favoris. Hermès posa délicatement son regard sur sa sœur. L’amour qu’il portait pour elle était presque immorale tant elle était infinie. Nous étions en plein mois d’août, l’air était lourd et le jeune homme venait de fêter ses dix-neuf ans tandis que sa sœur n’en avait que seize. Hermès se posait sans cesse des questions sur les relations de sa sœur tant elle était venue une femme rapidement. Leurs parents trouvaient charmant l’attitude que le jeune homme avait pour sa sœur tandis que lui ne la trouver pas naturelle, lui qui n'aimait personne. Un an auparavant, il avait fait la grande découverte que finalement, son sang sicilien devait le rendre comme tous les véritables siciliens qui ne vivent que pour leur famille.
Un groupe de jeunes hommes s’étaient installés à une table non loin des Corleone et ils posèrent rapidement leurs regards sur la jeune fille et commentèrent la beauté ce celle-ci.
Ma mignonne, tu viens, laisse tomber ton mec, y’a une petite place pour toi… Sur mes genoux par exemple.
Hermès, dos à la situation faisait tourner la paille dans son verre, nerveux. Se mordillant les lèvres, ses yeux sombres observèrent les joues de sa sœur s’empourpraient avec gêne.
Si tu veux, tu peux venir entre mes genoux aussi !
Les rires gras du groupe de jeunes hommes venaient juste de se déclencher qu'Hermès partit au quart de tour. Se levant rapidement, il se jeta sur le beau parleur et plaça un coup du droit sec et puissant dans la face hilare du garçon.
Quelques minutes plus tard, sur le trottoir devant le Backstage se trouvait un jeune homme le visage ensanglanté et une Andrea en pleure, il n’avait pas revu que l’arrogant garçon était le fils du dirigeant de la boîte. De cette histoire, Hermès garda une fine cicatrice sous l’œil droit.
» T' Y -C R O I S -O U -P A S-: Oui.
Dernière édition par Hermès Corleone le Jeu 26 Fév - 9:16, édité 6 fois |
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| | Sujet: Re: H.M.CORLEONE -- like a rolla Jeu 26 Fév - 9:02 | |
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» U N E -S A I S O N -: L'Été, le soleil et la plage.
because you have someone behind the character
» P R E N O M -/- P S E U D O -: June, et compagnie.
» D E -Q U E L -P A Y S -T U -V I E N S -: France, même si mon coeur se balade en Irlande
» V O T R E -A G E - 16 ans :)
» L E -D E S I G N -E S T -C O M M E N T -: MAGNIFIQUE!
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» SU G G E S T I O N -: ... VOUS ÊTES PARFAITES
» P O U R- F I N I R -: Validé par Lainey
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